Je vais aborder aujourd’hui un point qui me semble essentiel à la préparation d’un bon voyage : votre sac à dos !
Le choix de celui qui deviendra votre meilleur ami durant tout votre périple s’avère en effet primordial, tant au point de vue de son volume que de sa forme et son confort. Meilleur ami, certes, mais un ami que vous aurez toujours sur le dos…
Chacun y va de son conseil, chacun aura ses préférences, et il est évident que le choix final vous reviendra. Vous lirez tout et n’importe quoi à ce sujet, et mon modeste avis ne sera qu’un parmi d’autres. Je vais trouver dans cet article bon nombre de détracteurs : des aficionados d’une marque ou d’un modèle, des adeptes de l’ultra-light sans armature jusqu’à l’ancien boyscout qui ne jurera que par son antique sac vert en toile de jeans et lanières en cuir. Alors, encore une fois, je ne partage avec vous que mes choix et les infos glanées ci-et-là qui m’auront permis d’arriver, moi, au terme de mon périple. Alors si je peux apporter ma pierre votre édifice…
Le volume
C’est une lapalissade que de dire qu’un sac à dos doit être pratique, confortable et adapté à la morphologie de chacun.
Mais la première vraie question que chacun va se poser est : « Quel volume dois-je envisager ? ». Je dirais que cela dépend tout d’abord de la manière dont vous allez aborder le Chemin : bivouac, autonomie, saison, craintes, etc. Je pense qu’un sac de 40 litres reste toutefois un bon compromis. Plus petit, on se retrouve confronté à devoir compresser au maximum, et plus grand, c’est inutile: d’une part le poids propre du sac s’en ressent, et d’autre part, plus on a du volume, plus on aura tendance à le remplir.
Mais c’est surtout lorsque vous aurez rassemblé tout votre matériel que vous pourrez estimer le volume nécessaire : le sac à dos sera donc un de vos derniers achats !
Notons également que certains sac à dos offrent un volume ajustable à l’aide d’une rehausse, ce que j’ai personnellement trouvé très pratique : en fonction de mes consommables (vivre et boissons), je pouvais ainsi régler au plus juste le volume, passant indifféremment de 45 à 55 litres.
Le poids
Les marques rivalisent de modèles, d’options et d’originalités pour vous séduire.
Si l’esthétique peut influencer votre choix, veillez surtout à ce qu’il soit pratique et pas trop lourd. Car pour un même volume, vous serez parfois surpris de constater que question poids, on peut passer du simple au triple ! Le tissus, l’armature (ou pas), et si elle est présente, sa matière (acier, aluminium, carbone, etc), le nombre de poches et de tirettes, la présence de séparation(s) interne(s), d’un rabat plus ou moins volumineux, vont invariablement et grandement modifier le poids de votre sac.
La forme
Elancé ou plus trapus, peu importe. A vous de voir comment vous souhaitez organiser au mieux votre paquetage. Mais au-delà de la forme extérieure de votre sac, il y les « à côté » et les accès. Et c’est bien sur ces points que je vais tenter de vous briefer.
Ce que je nomme les « à côté », ce sont les poches extérieures au volume principal : poches latérales (gauche et droite), rabat supérieur, et espace inférieur.
Lors de mon choix, je n’ai pas fait attention aux poches latérales. Sur mon sac (Lowe Alpine AirZone Trek 45:55), elles sont bien évidemment présentes, mais il s’agit d’une simple tirette dans l’alignement du tissus, et donc sans volume. Lorsque je les remplis, je réduits donc d’autant l’espace intérieur du sac ! Pas pratique, et difficile d’accès lorsque le sac est rempli et que les toiles sont bien tendues… Un conseil donc : préférez des poches « en volume », c’est-à-dire des véritables poches complémentaires, accolées au sac, que vous pourrez remplir à votre guise.
Le rabat supérieur est en quelque sorte la capuche de votre sac. Parfois constitué d’une simple toile de couverture, il peut cependant représenter un véritable espace de rangement, et même si son volume est limité, c’est extrêmement pratique pour y caser tout le petit matériel dont vous aurez besoin en cours de journée.
L’espace inférieur constitue la base, l’assise de votre sac. Gardez à l’esprit que cette poche va recevoir tout le poids de votre sac, d’autant plus quand il sera posé à terre. J’ai donc privilégié cet espace pour stocker les objets encombrants et peu fragiles: toile de tente et sac de couchage.
Quant aux accès, il est loin le temps des sacs qu’il fallait vider complètement pour pouvoir atteindre ce qu’on y avait placé tout au fond. La plupart des modèles sont maintenant dotés d’un accès ventral ou latéral, qui permet d’ouvrir le sac dans toute sa longueur offrant ainsi un accès rapide à tout son contenu en une seule fois !
Votre sac à dos, votre meilleur ami !
Il vous reste maintenant à choisir un modèle qui vous convient. Et en ce qui me concerne, ce fut un choix cornélien. Car face au rayon bien achalandé, ils sont tous beaux et clinquants. Celui-ci semble plus pratique, celui-là est un peu plus léger. Ai-je vraiment besoin d’un espace de rangement inférieur ?
Mais au-delà de ces aspects pratiques, il y en a un qui les supplantent tous : le confort ! Un bon sac à dos doit rapidement se faire oublier.
Rien de tel donc que d’aller essayer en magasin, et de se balader avec le sac chargé pendant 1/2h ou 1h. Tout bon magasin de rando possède d’ailleurs des coussins lestés prévus à cet effet: chargez donc, sans hésiter, d’autant que le moindre réglage doit se faire « en charge ».
Puis il faudra apprendre à bien l’attacher…
Répartition de la charge
Avec coussins de lestage, c’est facile, mais avec votre équipement c’est moins évident. Lors du chargement de votre sac, il faut cependant essayer de respecter au mieux trois règles principales:
– Dans la mesure du possible, mettre les objets les plus lourds au fond du sac.
– Equilibrer au maximum la charge, tant au niveau du poids que du volume.
– Caler chaque élément : rien n’est plus déstabilisant qu’un objet qui barloque, ni plus énervant qu’un cliquetis intempestif.
Comment bien régler son sac à dos ?
Demandez, et vous serez conseillé. Car bien régler son sac est tout un art que vous devrez maitriser, jusqu’à en devenir un rituel quotidien.
Le premier ajustement, théoriquement unique, est celui de la hauteur. Au milieu du dos, vous trouverez un système qui vous permettra d’ajuster la hauteur de la charge en fonction de votre taille. Sans être trop basse, celle-ci doit être placée de manière à ce que la sangle abdominale vienne reposer sur les os de votre bassin.
Ensuite, première règle : lâchez tout! Toutes les sangles doivent en effet être desserrées au maximum, pour pouvoir les ajuster à votre morphologie.
Enfilez votre sac à dos, et par un petit mouvement d’épaule, penchez vous en avant pour ramener et stabiliser la charge sur votre dos. Et tout en restant penché en avant, attachez et serrez la sangle abdominale. Lorsque vous vous relevez, vous pourrez remarquer que votre sac tient tout seu l: tout le poids du sac doit en effet reposer uniquement sur vos hanches, sans aucune tension au niveau des épaules.
Il faut ensuite serrer les sangles d’épaule : pas trop lâches pour que le sac soit bien arrimé, mais pas trop serré, que vous puissiez rester libre de vos mouvements et de respirer !
Enfin, au niveau des clavicules, vous trouverez les sangles de rappel de charge. Ce réglage va vous permettre de ramener le poids pour bien le coller sur votre dos. A votre guise : certains aiment bien serré, d’autres préfèrent que la charge tire un peu vers l’arrière et ainsi créer une circulation d’air.
Ces réglages devront se faire tous les jours, et parfois même être modifiés en cours de journée. Votre corps change, vous allez perdre du poids, vous allez vous raffermir, gagner en musculature, et entre le matin au réveil, jusqu’au coucher du soleil, avec la fatigue, votre dos va se courber, vos épaules vont un peu s’affaisser, et vous ressentirez de vous-même la nécessité d’ajuster les réglages.
Ça a l’air un peu compliqué, et peu en parle, mais le confort est à ce prix, et pour tous ceux qui se plaignent de douleurs au dos, épaules, nuques, etc, cela vient essentiellement d’un mauvais réglage.
En résumé donc, l’idée principale est que le poids est supporté par vos hanches, et que vos épaules ainsi délestées ne servent qu’à stabiliser le sac.
Pas évident, sans visuel, d’expliquer tout ça. C’est pourquoi je vous ai déniché une petite vidéo. En un mot comme en cent :
Bonjour mon ami,
je me permet de rajouter une information qui me parait importante.
dans le choix de son sac je pense qu’il peut être intéressant qu’il dispose d’un sur sac étanche. en effet lors de mon chemin j’ai eu 14 jours de pluie et j’ai vraiment apprécié d’avoir un sur sac.
cet équipement a un double avantage:
il permet de protéger de l’humidité puisque c’est sa fonction première mais en plus il se range dans une poche étanche qui vous permettra de mettre vos habits de pluie et donc de ne pas avoir à le chercher lors d’un grain ou de ne pas mouiller vos affaires contenues dans le sac dès que le soleil réapparait et que vous voulez les retirer.
pour ma part, dans mon sac j’avais en plus un petit sac étanche dans lequel j’avais des habits de rechange a l’abri de toute humidité.
Je te rejoint sur le fait que j’ai vu des milliers de sacs et chacun a son avis. je reste aussi persuadé que cet article est utile à ceux qui désirent partir pour pour un jour ou bien plus.
Salut Fred,
Tu fais bien de le préciser : une housse de protection est bien utile et nécessaire en cas d’averse ! Je n’y ai pas pensé car selon moi, tout bon sac à dos digne de ce nom en est équipé.
Et pour ceux qui se posent la question, il s’agit simplement d’une housse souple et étanche qu’on enfile par au-dessus du sac à dos…
Quant au rangement du sac à proprement parlé, je n’aborde pas particulièrement le sujet (hormis la répartition de la charge), mais tu as parfaitement raison. J’ajouterai même que chaque élément ou groupe d’éléments doit être placé dans des sacs étanches (genre sac de congélation zippable, par exemple). Ainsi, j’avais différents pochettes : pharmacie, trousse de toilette + serviette, vêtements de rechange, vêtements de pluie, doudoune, tente, et sac de couchage. Le but : en cas de fuite (intempérie, chute dans une flaque ou une rivière, ou plus couramment, poche à eau non-étanche car mal fermée ou percée), aucun élément ne prend l’eau !!!!
A bon entendeur 😉
A bientôt, mon ami,
Luc
Super explication, merci
Merci 😉
J’essaye de faire au mieux, en étant le plus clair et le plus complet possible. L’idée de cet article m’est venue suite aux nombreux conseils que je distille, notamment en commentaire sur Facebook, sur les différentes pages consacrées à Compostelle. Plus facile maintenant de renvoyer au lien de cet article, que de répéter cent fois la même chose 😉
Je préfère le petit sac à main rose à paillettes ?????
Bonjour mon Amour 😉
Oui, bien sûr, cela peut compléter, même si en version sac à main, ça va peut-être parfois un peu gêner ! lol (préfère plutôt un sac banane ou accroché à la ceinture ! lol)
Hé bien dans ton sac à main rose à paillettes, tu mettras donc: quelques barres de céréales, une boite de pansements, un tube de pommade anti-froyon, une boussole, un carnet et un bic, ton appareil photo et ton gsm. Allez, je t’autorise quand même un rouge à lèvres version pocket, et un rimel entamé (question de poids ! lol)
Bisous mon Amour, je t’aime ! <3 <3 <3
bon boulot , comme d’hab
continue
Salut Bob,
Cela diffère un peu de mon récit, mais je reçois régulièrement des mails me demandant conseil, ou encore, je participe régulièrement aux conversations sur les différentes pages Facebook consacrées à Compostelle.
J’espère donc ici répondre au plus grand nombre, même si je le répète, je ne suis pas la science infuse et chacun ira de ses choix 😉
A bientôt,
Luc
Luc.
a mon avis je rajouterais une demande ou plutôt une supplique.
vous qui devez partir, évitez les sac plastiques type supermarché.
leurs bruits et crissements accompagneront vos soirées et vos levés dans les gites ou albergues et deviendrons très vite insupportables.
je suppose que les gens qui ont déjà été confronté à cela seront certainement d’accord avec moi.
Judicieuse remarque. Mais il faut bien noter que, sans même parler du bruit infernal qu’ils génèrent, ces sac de m… d’abord ne tiennent pas longtemps dans le temps (trop fins, fragiles, biodégradables, etc), et surtout ne sont pas étanches (ne vous leurrez pas, même en les serrant très fort et en les roulant, l’eau trouvera son chemin !
Préférez donc, comme je le suggère et comme tu le fais bien comprendre, des sacs solides, épais, et surtout refermable de manière étanche ! Vous en trouverez au rayon rando de votre magasin favori, mais ils coutent un pris d’or. Des sac congélation zippables feront très bien l’affaire…
complètement d’accord avec toi.
Hello Luc,
Cool l’article, c’est toujours sympa comme rappel. Par contre dans la répartition du poids, il n’est pas trop conseillé de mettre le plus lourd dans le fond du sac car celui ci va appuyer sur les lombaires. Pour avoir une répartition optimum a niveau du poids, on conseil ce qui suit :
Le plus lourd le long de la colonne vertébrale dans la poche principale.
Le plus léger dans la poche du bas (normalement le sac de couchage)
Le poids moyen à léger dans les poches du dessus.
Plus on s’éloigne de la colonne, plus on part sur du léger. (dans l’ordre, de l’eau vers la polaire qui en rapport volume-poids sera la plus légère)
Salut Damien,
Comment vas-tu? 😉
Tu as parfaitement raison, et je ne suis pas rentré dans les détails comme tu le fais si précisément. Par contre, je dis quand même quand dans ma poche inférieure, je plaçais ma tente et mon sac de couchage, qui ne sont pas les plus lourds mais bien les plus encombrants.
Et en général, le long de la colonne, c’est bien le plus lourd qui s’y cale, puisque c’est là qu’on va retrouver la poche à eau.
En gros, mon chargement respectait donc tes prescriptions, puisque j’avais mon eau au centre, de part et d’autre, mes vêtements et la trousse de toilette, dans le fond, mon sac de couchage et ma tente, et au dessus, le « p’tit branle », à savoir mon coupe-vent et ma bouffe.
A bientôt,
Luc
Salut, est-ce qu’un sac du haut de gamme Decathlon est un choix acceptable, ou bien vaut-t-il mieux payer 150€ (au lieu de 90€) pour un sac de marque ?
Bonjour Laurent,
Il n’y a pas vraiment de réponse à ta question. Et je dirai prosaïquement qu’à la limite, même un premier prix de chez D4 pourrait faire l’affaire.
Le plus important est d’essayer, et de surtout l’essayer en charge (dans tous les bons magasins, ils ont des coussins lestés pour simuler la charge). Tu dois être à l’aise avec ton sac, il doit bien reposer sur tes hanches (tu ne dois pas sentir de tensions aux épaules : c’est ton bassin qui porte). Pour ce faire, il doit être au minimum équipé des réglages nécessaires : bretelles, rappel de charge et ceinture abdominale. Concernant cette dernière, elle doit en outre être suffisamment rembourrée pour être confortable (pas une simple sangle qui finirait par t’occasionner coupures et blessures).
A partir de là, à toi de voir, en fonction de ta taille (« longueur » du dos essentiellement) et de ta corpulence, celui qui te conviendrait le mieux. Beaucoup optent pour un D4, finalement pas si mal construits, solides et confortables. Maintenant, il y a moyen de trouver plus léger et mieux adapté à la concurrence (Osprey, Lowe Alpine, Deuter, Vaude, Wilsa, etc.), mais c’est aussi parfois beaucoup plus cher. C’est un choix, un compromis entre prix/poids/confort, mais ça reste un choix personnel.
Pour ma part, j’avais finalement opté pour un Lowe Alpine Airzone Trek 45:55 parce que… Parce qu’il y a enfin le dernier aspect à prendre en considération : le côté pratique. Une sac avec une ouverture ventrale ou latérale est bien plus facile d’accès qu’un sac avec une seule ouverture zénithale, par exemple. Le nombre de poches a aussi un côté pratique pour organiser son paquetage, mais plus il y a de poches, plus le sac sera lourd (tirettes, tissus en plus, etc.). Enfin, pour en revenir à mon choix, je trouvais pratique l’option 45:55, m’offrant ainsi la possibilité d’une rehausse de 10 litres pour moduler mon sac en fonction du volume de mes ravito. Mais mon choix n’est pas non plus la panacée : il fait 1kg670 (poids réel du modèle 2014), et après expérience, il souffre quand même de quelques défauts (mais à 160€ le sac, je ne vais pas en changer à chaque pèlerinage !).
A toi de voir… et à essayer !
Si tu as d’autres questions n’hésite pas, sur le sac ou un autre sujet concernant ta prépa ou le pèlerinage en lui-même.
A bientôt et d’ores-et-déjà buen camino 😉
Luc
PS : tu pars quand, pour combien de temps et sur quelle(s) voie(s) ?
Un grand merci Luc pour ta réponse bien détaillée. Je pars vers le 7 septembre de St Jean Pied de Port, ce sera mon tout 1er pélerinage et 1ère marche aussi longue, je n’ai aucune expérience. J’ai énormément voyagé dans ma vie (45 ans), un peu partout dans le monde, mais pas de très longues marches similaires.
Quand tu écris D4, tu parles de Décathlon je suppose ?
ps : je n’en ai pas car je vis en Floride – USA, mais je suis en Europe en ce moment et le rapport qualité-prix de leurs produits semble très bon.
Ma réponse reprend en grande partie ce que je décris dans l’article 😉
Et oui, D4 est l’abréviation de Decathlon 😉
Partir de SJPP pour empreinter le Francès est une bonne approche pour un premier pèlerinage. Même si le tourisme et le mercantile y prend de plus en plus de place, cela reste quand même la voie la mieux structurée en termes d’accueil (albergues, bars, restaurants, tienda, etc.), une des mieux balisées, et la plus décrite dans les topoguides, reportages, tuto et autres.
Par contre, méfie-toi quand même de la première étape SJPP-Roncevalles, qui risque de piquer un peu si tu n’es pas suffisamment préparé (possibilité de la splitter en deux étapes avec un arrêt à Orisson, mais je trouve que ça « coupe » un peu l’ambiance, le charme et la satisfaction de passer les Pyrénées en une seule fois).
Pour en revenir au sac à dos, je réitère mon premier conseil : le mieux est d’essayer, il n’y a pas de secret !
Maintenant, entre D4 et une « vraie » marque, je ne peux t’influencer. D4 s’inspire parfois largement de ce qui se fait à la concurrence, avec en plus la force d’un grand groupe et la possibilité de produire en masse (et donc de baisser les prix). Tu peux donc y trouver ton bonheur. Mais cela implique aussi des produits plus généralistes (pour satisfaire le plus grand nombre avec le moins de modèle possible) et des matériaux moins performants (rapport prix/poids, obsolescence commerciale, etc.). Moi, je dis toujours, D4, c’est bien pour débuter, et ça peut d’ailleurs satisfaire tous les pratiquants de « sport amateur ». Après, si tu veux un peu plus spécifique ou performant, tu dois ensuite aller voir ce qui se fait de mieux ailleurs…
A toi de voir…
J’ai appris pas mal de choses merci
Coucou Bob,
Comme quoi, on apprend à tout âge…
Merci pour ton commentaire 😉
Luc
merci … suis pas encore un ancêtre